Ecrire pour ne plus survivre
Et enfin découvrir
Ce que vivre veut dire

Partir pour ne plus souffrir
Avancer sans faiblir
Ne jamais revenir

Rien de plus à offrir
Pour construire l'avenir
Bien sombre sans sourires

Qui saura me conduire
Vers un devenir
Qui sera à fleurir ?

Tout cela n'est qu'illusion, le voyage est déjà commencé...

De Henri Miller dans Le monde du sexe :

La vie ne commence réelleement qu'avec la solitude ; ce qui se passe, lorsqu'on se rassemble, découle purement et simplement de ce qu'on était seul.

des anges de sexe féminin ?

J'ai beau chercher, je n'en vois pas

De voir que des personnes que je lis m'ont écrit ! alors là...je n'en reviens pas..

alors pour le coup, je vais illustrer une maxime :

"comme on connait ses seins ............... on les honore"

bon d'accord, c'est revu et corrigé, mais jpréfère celle là...sans aucun doute !

C'est l'heure des pensées chaotiques. L'heure où les mots se bousculent sur le clavier pour venir se poser sur un écran placide.

Tous ces mots accolés pour essayer de transcrire le ressenti. Pourquoi avons nous besoin de ces mots ? Comme j'aimerai la télépathie, il n'y aurait plus de mensonges possible, tout serait limpide.
Adieu les mots creux, bonjour les pensées bleues, roses et de toutes les couleurs de l'arc en ciel.

Un regard suffirait, la communion serait parfaite, il n'y aurait plus rien à cacher. L'homme se révèlerait dans toute sa spendeur et sa misère.

Mais voilà, les mots sont encore nécessaires, nous masquons nos pensées les plus profondes derrière de bons mots, et ne parlons pas des GROS mots, ils se suffisent à eux mêmes. Quant aux mots doux...que se cache t-il derrière, bien souvent la douceur en est totalement absente. Et le mot pour rire, celui qui se bidonne tout seul en laissant de petites griffures dans le coeur. Je n'oublierai pas le mot juste, en quoi est-il juste d'ailleurs, si ce n'est pour celui qui l'a émis et qui en est tout fier. Et puis nous terminerons avec bien sur le mot de la fin. Celui ci est le plus important puisqu'il clot le dialogue. Il est impitoyable et ne doit être utilisé qu'à bon escient. En sommes-nous capables ?