• et souvenirs

    Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant... mais non, ce n'est pas ça, je vous rassure, jme suis trompée !

    Des vers me trottent dans la tête...Est-ce mon humeur qui les rappelle à moi ou un quotidien banal ?

    Les voici (saurez-vous identifier l'auteur ?mmmmmmmm je crois bien que oui, j'ai confiance) sinon allez voir http://www.poetes.com

    Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé
    Le Prince d'Aquitaine à la tour abolie
    Ma seule étoile est morte et mon luth constellé
    Porte le soleil noir de la mélancolie


  • Commentaires

    1
    Lundi 24 Janvier 2005 à 12:04
    Nerval...
    je le lis decidemment en bien des antres... n'y a t il donc pas de hasard... ? sourire... fin du sonnet adoré : Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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    2
    Nuage
    Lundi 24 Janvier 2005 à 12:22
    Nerval
    Bien sur puisque ses mots ont une résonnance bien particulière à qui veut bien les entendre sourires
    3
    Hector
    Mardi 1er Février 2005 à 17:35
    moi j'aime bien ce texte de BRUA
    Il faisait chaud ce jour Le chien dormait dans la poussière de la cour Elle était à laver dans la cuisine Quand la lumière a changé Se tenait dans la porte Un homme qu'elle ne voyait pas bien Pensant comme une idiote : Je n'ai pas entendu le chien Puis s'essuya les mains Elles étaient fraîches de savon Il dit : Après le pont J'ai manqué perdre mon chemin Il entra tout de bon Lui dit : Je viens de la part du grand Mais pardon, je marche depuis Brive Et sans savoir je vous surprends En lessive Elle dit : Par ces chaleurs On salit tant plus qu'on transpire Si on contait ses heures On croirait jamais en finir Puis dit je manque à tout Je n'vous ai même pas rien offert Mais on refuse pas un verre Quand on a marché tout ce bout S'est mis sur le banc Lui dit qu'elle avait bien de la chance Pour le grand Elle lui versa du vin Se sentit gênée du silence tout soudain Il se donnait du temps Vidait son verre à petits coups Souriait de temps en temps A elle qui restait là debout Puis dit : C'est qu'il fait chaud On est là seul, ou c'est tout comme Elle dit : J'ai plus mon homme Depuis quatorze mois bientôt Elle lui fit son visage de femme Qui a bien su attendre un passage Il eut ses mains de laine Son sourire ses yeux de cendres Son haleine Puis il revint au banc Tandis qu'elle remettait sa robe Commença: pour le grand tu sais Je dois te raconter dans l'ordre Elle dit : Y a bien un grand C'est le fils aîné des voisins Tu prendras le chemin Tout de suite après le mur blanc...
    4
    nuage1 Profil de nuage1
    Mercredi 2 Février 2005 à 11:57
    BRUA
    bien sur ce n'est pas Nerval, mais ce n'est pas désagréable..
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